Rubrique interdite aux jeunes motards , exemple a ne pas suivre

Il est interdit sur ce forum de diffuser des messages tendancieux genre GAZZZZZZZZ a tout les coins de rue , cependant certain d'entre nous aurons peut etre des histoires interessantes a raconter qui pourront éviter des prises de risques énormes et inutiles .

La moto c'est dangeureux comme disait ma mère , mais on peut etre raisonnable et finir sa carrière dans son lit plutot que la tete plantée dans un rail d'autoroute non !

Citation :

Je me souviens d'une fois, passager sur une Zuk GT aux mains d'un copain qui avait un sacrément bon coup de guidon.

On sort de Paris en s'engageant sur l'A4. Tout le monde le sait, il y a un grand et long gauche au début de cet autoroute.

Mon pote Robert attaque à l'intérieur, tout le côté gauche de la moto racle le tarmac. On ne peut plus prendre plus d'angle, mais la courbe n'est pas finie et mon pote Robert non plus, il reste gaz en grand !

C'est vrai que couper dans un si beau virage, ce serait gâcher !!!

Du plus à gauche de la voie de gauche, la moto file bon train dans des gerbes d'étincelles sur la voie du milieu, puis la voie de droite, avec la bande d'arrêt d'urgence qui nous saute dessus à vitesse grand V, limitée par les barrières de sécurité ...

La courbe s'arrête, Robert redresse la moto, retrouve "de la direction". Il était temps, la barrière de sécurité nous observait avec gourmandise, on était dans la voie d'urgence.

Quand on est arrivé à destination, il a reconnu qu'on avait eu chaud quand même.

Moi : "tu m'étonnes !" pale

Mébon, s'il avait coupé, p't'être qu'on aurait loupé un sacré souvenir Very Happy

Merci XAV pour cet exemple a ne pas reproduire

Je vous avait expliqué comment faire rapidement la vidange sur une 350 TZ ?
Suffit de ne pas assurer le bouchon de vidange, puis de se lancer pour quelques tours de qualif en championnat illimited à Magny-cours : j'ai vidangé "à fond de 5".
Aucun souvenir de la gamelle mais mob fortement compactée et quelques semaines de coma.

Les garages qui vous demandent 100€ pour vidanger sont des escrocs, faut moins d'une seconde pour vider une boite

On est sur le retour d'une virée en forêt de chantilly avec un copain qui roule en 125 Harley Davidson (il prenait 130 km/h son petit moteur !).

Il passe devant à la barrière de péage, jette sa pièce dans l'truc et file à fond, droit sur Paname.

Moi j'ai la SF depuis peu de temps, je viens de quitter ma 125 MZ et je suis pas encore au top avec le sélecteur à droite et le frein à gauche.

Je contrôle que je freine bien avec le bon pied, descend 1 rapport, cherche le point mort. A y est je suis arrêté à la barrière de péage !

Je farfouille dans les poches du blouson pour jeter la pièce de 1 francs (ou 2 ?) dans l'truc, referme la poche, réenfile le gant.

La barrière s'ouvre : réfléchissement ............................... première à droite en bas et c'est parti.

Mais mon pote a pris sacrément d'avance, j'passe la seconde et j'ouvre en grand (hé, moi j'ai un 750 !).

La moto file sous moi, le guidon m'échappe des mains et je me retrouve à la place passager. Je rampe vers le guidon récupère" le contrôle" de ma grosse verte de Breganze ... (outch ?)



Je vois mon copain au loin qui me cherche du regard, complètement tourné sur la moto.

A un moment, je le vois aller sur la bande d'arrêt d'urgence, le regard toujours fixé derrière lui. Je me dit qu'il va s'arrêter pour m'attendre ...

Et oui, il est au ralenti, plus qu'à quelques dizaines de mètres devant moi. Il me voit prendre la bande d'arrêt pour le rejoindre, pose son pied pour s'arrêter.



Sauf qu'il a pas fait gaffe, son pied droit est au niveau du fossé du bas côté.

Il fait un truc avec sa jambe du genre "putain, il est où le sol ?", il penche, la moto aussi, et au ralenti, il disparait dans le fossé, cul par dessus tête, la moto avec.

J'suis hilare, je m'arrête à son niveau. Je vois d'abord un bout de guidon, puis mon copain qui se tient les côtes de rire.

On se marrait tellement qu'on a du mettre 1/2 heure pour sortir la moto du fossé  

Dans mon cas voici 2 histoires qui ce sont aussi bien terminées mais ça a été chaud;
la première: je venais d'acheter la 125 (GT) et il a fallu bien sûr tout nettoyer, même si elle était très propre, mais bon, il fallait qu'elle soit super; après le nettoyage, le remontage et cette saloperie d'embrayage qui embrayait tout de suite!! résultat, à la sortie du patelin, démarrage en côte à un stop et pas moyen de maîtriser la situation et au lieu de prendre mon virage à droite; hop tout droit dans une chemin de terre très escarpé et pouf, planté dans de la terre fraîchement labourée!!! heureusement pas de voiture, donc pas de collision, juste le nettoyage à reprendre; heureusement, j'avais un ami (qui le fera découvrir quelque semaine plus tard la conduite de plus gros (550 GT! sans permis!!) et cet ami a eu tôt fait de trouver le problème: en nettoyant le moteur et surtout le carter de transmission, j'avais par mégarde agit sur la commande d'embrayage; quelques tours de vis bien placés et je n'ai jamais plus eu de problème!!! (la 2° histoire au post suivant)

la deuxième histoire se produit 2 ans plus tard, après l'achat de la 550: j'avais un bon copain de lycée du côté de Besançon avec qui j'ai roulé plusieurs fois, et ce week end là, on avait décidé de se faire une virée entre le sud du Doubs, la haute Saône où nous devions visiter le musée de Cugney, et retour par la forêt de Chaux dans le Jura;
Pour arriver à Cugney, il fallait prendre une toute petite route au milieu des champs, et nous voila sur cette route où devant, je roulais un peu gaillardement; et tout à coup, une saloperie de virage à droite derrière un sommet de côte, et comme au Joe Bar: " la ça passe pas, là je m'y mets"; la route étant à niveau avec les champs, sans fossé, je prends le parti de redresser la machine et d'affronter les sillons d'orge de printemps, avec la chance énorme que les sillons étaient perpendiculaires à ma route, et me vla cramponné au guidon comme un cow boy aux rennes dans un rodéo, la 550 ruant à chaque sommet de sillon comme un bronco; bien sûr, ne pas lâcher les gaz et  essayer de retrouver la route qui faisait une boucle, ce que j'ai réussi à faire je ne sais pas comment car je n'avais pas beaucoup de kilomètres à mon actif (disons à peu près 4000 et les 4/5 en 125) et me voilà de nouveau sur la route, à semer mes brins d'orge de printemps comme le petit poucet ses cailloux;
quand on s'est arrêté au musée, le copain était blanc comme une baignoire Villeroy et Boch: il a vu ma dernière heure arriver à vitesse V; mais non ça s'est bien terminé, mais j'ai beaucoup appris...            
et en discutant avec les gens  du musée (fermé depuis), que des accidents, ce virage en a causé une ribambelle et pas plus tard que la semaine précédente avec un jeune qui s'y est tué en 205 GTI;
c'est ce qu'on appelle la baraka

En partant de Lille vers le Lavandou en 125 RDX (1250 km) avec un pote qui avait un 500 CX a peu près a mi chemin de nuit on était crevé et on dormait sur les machines en roulant . On c'est arrété a l'entrée d'un camping on a béquillé les motos et on a dormi a coté habillé avec les casques sur la tete .

pierrolamoto a écrit:

En partant de Lille vers le Lavandou en 125 RDX (1250 km) avec un pote qui avait un 500 CX a peu près a mi chemin de nuit on était crevé et on dormait sur les machines en roulant . On c'est arrété a l'entrée d'un camping on a béquillé les motos et on a dormi a coté habillé avec les casques sur la tete .

Ca m'est aussi arrivé de dormir avec le casque , mais ce n'était pas la meme fatigue ;

Idem. Quand on roulait de nuit, on cherchai la salle des pas perdus de la gare du bled qu'on traversai.

Si la salle était ouverte on dormait sur les bancs sans le casque, si elle était fermée on dormait sur un banc devant la gare, avec le casque.

Moi je dormais dans un lieu toujours accessible, toujours avec un robinet d'eau et toujours calme : le cimetière. Jamais été emm...

Citation :

En partant de Lille vers le Lavandou en 125 RDX (1250 km) avec un pote qui avait un 500 CX a peu près a mi chemin de nuit on était crevé et on dormait sur les machines en roulant . On c'est arrété a l'entrée d'un camping on a béquillé les motos et on a dormi a coté habillé avec les casques sur la tete .

On est arrivé sur la cote on n'avait pas décollé le casque pendant plus de deux jours , quand on l'a enlevé on étaient bronzé a l'endroit de la visière

Comme on a fini la route les manche des blousons remontés on avaient les avant bras bronzé et le reste couleur chti  

Je ne me souviens pas que des nuées de demoiselles nous courent après a l'arrivée , peut etre que le look était a peaufiner ou alors une bonne douche ....

moi, un des (bons) souvenirs que j'ai de mes années ????oups???? c'était en passager sur une 500 four avec un quatreenunsanschicanes   Descente d'un col dans les Alpes, je sais plus lequel, on double un gars en R16, je pense vers les 110, le gars très vexé nous repasse à fond, et là, le copain se met en chasse et "pousse" la bagnole à fond. le gars fini par nous semer vers les 170 (ben oui, une 500 four à 2, c'est déjà pas une fusée seul, alors !) 5 mn après, on le retrouvait, capot ouvert et très fumant au bord de la route, mort de rire.
Bon, 3 km plus loin, un petit Mr en bleu nous fait gentiment signe de nous garer et nous signale encore gentiment qu'il nous entend arriver dans la vallée depuis 10 mn.
Joyeuse époque.
J'en ai d'autres, on verra

Bien, en ce qui me concerne il s'agit d'un exemple à ne SURTOUT pas suivre :
1975, service militaire en Allemagne, une permission par mois, arrivée du train en fin de soirée à Dunkerque. Pas de liaison a cette heure pour Calais et comme à chaque fois, ma bande de potes motards s'organise pour venir me récupérer à moto. D'ordinaire tout se passe bien,sauf qu'a une occasion mes potos sont présents, 6/7 motos si mes souvenirs sont bons mais au moment de rentrer on s’aperçoit ... qu'il manque une place pour un passager. Fichtre, problème ! que nenni pour des djeunss décidés et inconscients, trois zinzins feront la route, 35 kms quand même, sur un CB 500 four. j'en ai conservé un souvenir disons...mitigé. Agréable parce que c'est l'exemple même de la liberté que nous prenions à l'époque, encore que s'il y avait eu des contrôles Gendarmerie ou pire un accident ... Mais aussi déplaisant,je me remémore notre tête à tous quand on a su par la suite que le pilote "sympa" volontaire pour prendre deux passagers n'avait pas de permis, donc pas d'assurance et la moto était ...volée !
Belle époque quoi mais exemple à ne surtout pas suivre !!!

Ce matin nous avons perdu un pilier de notre culture de ces dernières decennies . Beaucoup comme moi aurons grandi avec ses chansons (bon grès mal grès ) dans les oreilles . Il mérite un post sur ce forum vu qu'il faisait aussi de la moto ........ pas du RD mais personne n'est parfait .

Encore un exemple a ne pas suivre , il a mis sa santé a rude épreuve durant toute sa vie , sans doute celle-ci fut bien remplie .
Bon voyage johnny

Même s'il n'aimait que les motos diesels, il faisait partie de notre famille ... bonne route Johnny !

Mon premier disque (un 45 tours 4 chansons) " A tout casser" de Johnny, chevauchant une Norton 750 Atlas customisée, entourée d'une BM série 2 et d'une Triumph, photo prise aux puces de Clignancourt ...... souvenirs souvenirs !

Bon, ça dort dans la rubrique mauvais exemples à ne pas suivre ...

Une ch'tite de "ces années là" :


Mon pote Robert s'est pris une Mercédès de plein fouet. Moto HS. Et moi, je ne sais plus pourquoi, je suis aussi à pied. Baaaaad !

Mais on a des ressources. Enfin, on a surtout de bons copains.

Les 24 heures du Mans se profilent et on discute le coup avec les potes de virée. Un des gars n'a pas l'intention d'y aller et nous prête sa CB 550 Four. Bon ben c'est mieux que rien      

Mon pote Robert n'a pas cassé que sa 4 pattes. Un bras et une jambe dans le plâtre, la gauche (c'est un détail important pour la suite).

Je conviens du jour et de l'heure pour récupérer la moto. La femme du copain m'attend et m'offre un rafraîchissement, Vodka orange.

Moi qui ne picole jamais, je trouve son breuvage plutôt sympa, goût d'orange un peu viril. Elle m'en propose un autre, je lui en demande un troisième.

Comme il est temps que je file, je me lève ............................................... et retombe direc' sur mon cul, jambes flageolantes. Merde, j'comprends pas !  Nouvel essai et re-scotché sur la chaise.

Elle est morte de rire, et moi aussi je me marre bien du truc tout compte fait.

Mébon, je fini par descendre en bas de l'immeuble récupérer la bécane. La seule chose dont je me souvienne du chemin du retour est le départ avec la moto. Punaise que c'est mou une 550 F !!!  Et après, j'me souviens plus de rien  


Le jour du départ au Mans, je charge la moto, Robert monte derrière et zou, c'est parti.

En fait, la mollesse de la moto est réelle. Le copain n'est pas un nerveux et le roulage quotidien dans Paris n'a pas dû arranger les choses.

Le moteur a besoin d'être "libéré", et ça, c'est pas un problème insoluble.

Au fil des kilomètres, à force de lui tirer progressivement dans la couenne il se libère proportionnellement à l'intensité des hurlement de Robert .............................. dans les virages à gauche  

Punaise qu'est-ce qu'il rallait derrière, mais couper dans les virages à gauche nous aurait fait chuter la moyenne, et les virages à gauche, c'est beau !

Au retour sur Paname, la moto se comportait déjà mieux. Arrivé au pied de l'immeuble du prêteur, le moulin était ..... parfait  

A peine arrivé, le copain récupère les clés, saute sur sa bécane pour aller au taf, passe la première au feu et s'élance dans le trafic.

Sauf que, le moteur respire bien maintenant, et ça, il s'y attendait pas, mais alors pas du tout !  Sans déconner, même de dos, j'ai vu sa panique  

Au premier "vendredi soir" qu'on a fait avec lui, il faisait un peu la gueule et nous faisait même des reproches sous-entendus.

Avec Robert on s'embourbait à tenter d'expliquer qu'on ne comprenait pas, que c'est pas nous, qu'on avait respecté les temps de chauffe, retendu la chaîne, regardé le niveau d'huile, etc. etc., et qu'on le remerciait parce que vraiment c'était gentil de nous avoir permis d'assister à une endurance qui restera gravée au Panthéon des endurances du Mans ...

1989 ou 90, je dois emmener en moto la femme d'un copain motard jusqu'à Paris, environ 50 km de nationale 3. Elle a l'habitude de faire du 2 roues, son homme lui a même expliqué les signaux à passer au pilote si ça va trop vite, ou si arrêt pipi etc.
Je connaissais bien cette nationale, il faisait beau, la RC24 marchait d'enfer, je force pas trop sur la poignée de gaz, mais la copine me tape sur l'épaule pour me signifier que je peux en rajouter. Dont acte.
5 km plus tard, même tapotement sur l'épaule, à croire que je me traîne ??
Qu'à cela ne tienne, j'y vais comme un fêlé et enfin elle ne se manifeste plus. Parcours d'anthologie comme je les aimais.
Arrivé à Paris, hurlements de la copine au bord de l'hystérie
Que passa ?
En fait, pour moi quand on me tape sur l'épaule ça veut dire "tu peux y aller", mais pour mon copain et surtout sa femme ça voulait dire "ralentis tout de suite".
Légère différence de langage qui a failli se terminer pour lui par un divorce.

Encore dans le genre à ne pas faire ...
J'étais descendu au cinoche avec ma copine et sa sœur dans l'Austin (de ma mère), mon frangin suivait avec la 200 (dans sa config siège biplace)
A la sortie du film on rencontre une bande de copains ... Si on allait boire un coup ... OK, sauf qu'ils n'avaient pas de moyens de transport ! Ben on a de la place, on va se serrer un peu.
Ca pour être serré on était serré ... On est monté à 7 dans l'Austin, moi au volant (1.84 M quand même), la copine et sa sœur sur le siège passager, et 5 copains sur la banquette arrière dont 2 faisaient quand même 1.85 M et 1.92 M ... Oui mais il restait encore du monde ... Du coup le frangin embarque les 3 derniers sur la Yam, lui conduisait assis sur le réservoir, 2 gus sur la selle et le dernier sur le porte paquet qui n'a pas cédé, évidemment les 3 copains sans casques ... Inutile de dire que tout le monde était content que la "balade" se termine dans l'Austin, et j'ai pas encore compris comment mon frangin n'avait perdu personne en cours de route ... Autre temps autre mœurs, mais quand même grosse partie de rigolade ... Ben on était jeunes et cons quoi !

Allez, c'est plus une histoire de 4-roues mais tant pis :

Un jour au début des années 70 ma copine de l'époque n'avait pas voulu faire un trajet d'une centaine de km en passagère sur ma Yam sous prétexte que le temps était "bof". Donc j'avais sorti ma vieille Ford Anglia toute pourrie pour l'emmener. Pour bien comprendre, il faut savoir que la direction de ce véhicule n'est pas équipée d'une crémaillère (ah les anglais), mais d'une boite à circulation de billes ...
En arrivant dans un virage, blocage de direction, "tout-droit", franchissement d'un petit ruisseau et arrêt indemnes dans un champ ! Passé la frayeur, ouverture du capot et ... le couvercle du circulateur à billes s'était dévissé et profitant du jeu, une bille avait essayé d'en "doubler" une autre, ce qui avait tout bloqué.

Donc réparation et test (dans le champ) mais gros problème : comment revenir sur la route ? Vu qu'il y avait un bois derrière, la seule solution était de retraverser le ruisseau !! Inspection des rives du ruisseau : berges de même hauteur et de même allure, estimation de la vitesse de franchissement à l'aller (70 à 80 km/h ?), je décide donc d'accélérer dans le champ et de sauter le ruisseau à 85 km/ pour prendre une marge de sécurité ....

Premier essai : j'ai freiné comme un malade avant le ruisseau, raté, j'avais trop la trouille ! Les trois essais suivants, je me suis également dégonflé .... J'ai donc fait une demi-heure d'auto-suggestion en me répétant que la physique était une science exacte, que le phénomène était parfaitement réversible, que je donnais l'image d'un pleutre, etc. Quatrième essai, crispé à l’extrême, accélération, 90 km/h au compteur ... et franchissement du ruisseau, atterrissage presque en douceur sur la route, freinage : je tremblais comme une feuille !!

Moralité ? se méfier des anglaises, se fier à son jugement, et maîtriser sa peur ....

Citation :

Moralité ? se méfier des anglaises,

Si j'ai bien compris cette voiture était anglaise , n'aurait tu pas oublié un passage plus attaché a tes relations avec cette jeune femme dont nous ne connaissons pas la nationalité ..... selon mes estimation il s'agirait d'une période s'étirant du premier passage de ruisseau au début des tentatives pour revenir sur la route

Bien entendu Madame chrono restera en dehors de cela

Citation :

Ben on était jeunes et cons quoi !

Ce qui est sur c'est que nous ne sommes plus jeunes , pour le reste ..............

1977 ou 1978, j'ai ma 125 MZ.

On va au ciné avec un pote et sa femme (enfin c'est pas encore sa femme) du côté de la Porte Maillot, voir Easy Rider.

A trois sur la MZ, Gare du Nord / Porte Maillot ça fait un bout ... Il n'y a qu'à un feux tricolore qu'un flic nous repère. Coup de sifflet, bras en l'air !

Mébon, comme je sens que ses gesticulations ne présagent rien de très heureux, j'ouvre en grand.

Enfin, on est sur une MZ et on est trop lourd, forcément.

J'arrive lamentablement, à la vitesse d'un escargot gériatrique, à m'extraire du carrefour, mon pote la main sur ma plaque et on poursuit notre périple jusqu'au ciné.

Une fois sur place, on découvre qu'en seconde séance ils passent un film complètement n'import'nawak, "Il faut trouver le joint".

Alors à la fin d'Easy Rider, on se planque derrière les sièges jusqu'à ce que le second film démarre.

Retour, toujours à trois sur la moto qui gazouille, sans problème ...

Pour répondre à Pierrot, lors de l'épisode "ruisseau", ma copine, d'origine italienne (donc jolie quoique peu fiable comme les productions ritales de l'époque) est restée à l'écart en faisant un peu la gueule jusqu'au retour sur route où elle est remontée dans le véhicule ....Plus tard je l'ai épousée et elle ne rechigne pas à monter sur mes bécanes .... je l'emmène essayer la RD cette après-midi !

Chronoyam a écrit:

Pour répondre à Pierrot, lors de l'épisode "ruisseau", ma copine, d'origine italienne (donc jolie quoique peu fiable comme les productions ritales de l'époque) est restée à l'écart en faisant un peu la gueule jusqu'au retour sur route où elle est remontée dans le véhicule ....Plus tard je l'ai épousée et elle ne rechigne pas à monter sur mes bécanes .... je l'emmène essayer la RD cette après-midi !

Fais gaffe au ruisseau ......