Une petite trois pattes

Bonjour,

j'ai craqué pour celle ci, une 400S3A de 1975   .

Elle vient du Canada,  toute d'origine avec 8000 miles et très saine. Elle marche très bien et ne fume pas.
Bon, tout n'est pas rose, le freinage est vraiment très moyen (rien à voir avec la qualité d'un freinage de RD) et il y a pas mal de travail pour lui redonner un peu de
lustre (peinture à refaire, polissage, remplacement des caoutchoucs/silent bloc, remplacement de pas mal de boulonnerie ...)  + tout ce que je vais découvrir rapidement, en espérant que cela reste du domaine cosmétique.
Pour l'instant je n'y touche pas (à part lui trouver une béquille centrale qui manque) , je ne fais que l'utiliser et ne commencerai à travailler dessus que quand j'aurai fini la RD350 et la DS7 ... c'est à dire l'année prochaine.
A+  

Grand guidon , modèle US , c'est quoi le bicylindre Suzuki devant le S3 ?

T250 ou T350 ?

Origine Canada, la Suze est une T350.

J'avais la même S3 en 1975

Félicitation belle machine !

San Francisco a écrit:

Origine Canada, la Suze est une T350.

Monsieur est un homme de gout , quelle année le T350 ?

Chouette la 400 !

Elle est magnifique, j'adore la couleur !

Bonjour,
je ne voulais pas y toucher tant que je n'ai pas fini la restau de mes Yam mais comme j'ai du démonter le frein avant qui grippait j'en ai profité pour sortir la fourche et faire un petit polissage qui s'imposait. La finition d'origine est, je pense anodisée, mais avec le temps ce n'était plus très beau. Quel plaisir de démonter une machine qui n'a jamais été touchée. Tout est en place, les petites traces de peinture sur les vis du montage usine ...  On aimerait bien ne pas avoir à y toucher mais parfois il faut bien intervenir
Avant:


Après quelques heures de boulot:

Il y a un vernis à l'origine ... superbe !

Oh ... ça brille !

C'est propre , a l'origine c'est vernis , c'est pour cela que ça devient dégueu avec les éclats de vernis . La flotte passe dessous et oxydation .

J'avais eu ça aussi sur le tambour arrière de ma 250, après avoir roulé sur les routes salées à l'époque où il y avait de vrais hivers (et où je roulais par tous les temps). Le moindre choc sur le vernis laisse passer l'oxydation.